RECONNAISSANCE DES DIPLÔMES EN TRAVAIL SOCIAL AU NIVEAU BAC+3

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Guest

#1376

2011-03-26 16:51

S'il a été décidé par les autorités que trois ans d'étude étaient nécessaires avant de passer le DEASS , alors un peu de cohérence , accordez le niveau BAC+3!!

Guest

#1377

2011-03-26 23:05

enfin

Guest

#1378 Reconaissance des EJE à BAC+3

2011-03-26 23:25

Nous sommes ammenés à occuper depuis le decrêt 2000 des postes à responsabilités sans reconnaissance à BAC+3, directrice de structures petite enfance ou adjointe pour bon nombre d'entre nous, responsable de RAM...cette reconnaissance favoriserait nos perspectives d'évolution professionnelle et salariales.
Emmanuel Bourgoin
Guest

#1379 Re: merci pour votre participation à la mobilisation du 16 mars 2011

2011-03-27 12:10

#1302: Guichard Patrick - merci pour votre participation à la mobilisation du 16 mars 2011 

 Qu'en est-il de l'idée d'une cordination nationale de travailleurs sociaux ? Je soutiens à 100% cette idée!!


Guest

#1380

2011-03-27 13:54

Il est même étonnant que ce ne soit pas déjà fait puisque concrétement c'est une formation a bac +3!

Guest

#1381

2011-03-27 20:02

bonne initiative, il est vraiment temps que l'on soit reconnus

Guest

#1382 Re:

2011-03-28 01:12

#950: pierre ballarin -  

C'est malheureusement possible, comme quand des évidences ne s'imposent pas ! C'est a minima une question d'équité, sinon une question d'éthique. Et compte tenu de la qualité de certains, une obligation de valorisation vers le cadre d'emplois des A. Continuez le combat !... d'autres ont gagné !

Bien cordialement

IG 65/32


Guest

#1383 lire le dernier TSA

2011-03-28 12:55



Formations sociales 2011/2013 : un coin du voile est levé
Approuvé par le Conseil supérieur du travail social le 23 mars, le projet d'orientations nationales des formations sociales 2011-2013 encourage la création de "Hautes écoles professionnelles en action sociale". "Cette innovation permettra d'inscrire les formations (...) dans un paysage européen plus large", a vanté la ministre des solidarités. Qui a évoqué d'autres d'évolutions

"Les travailleurs sociaux vont être amenés à jouer un rôle croissant dans notre société dont l'espérance de vie ne cesse de s'allonger". C'est l'un des messages portés par Roselyne Bachelot-Narquin en clôture de l'assemblée plénière du Conseil supérieur du travail social (CSTS) qui s'est tenue le 23 mars. À l'ordre du jour de la séance : l'examen des "orientations nationales pour les formations sociales 2011-2013". Le document, que nous nous sommes procuré, a été globalement approuvé par le conseil qui a émis un projet d'avis favorable. Il reste pour l'heure la chasse gardée du ministère des solidarités, susceptible de l'amender. La "feuille de route de l'État", ainsi que l'avis définitif du CSTS, devraient être publiés "au cours du second trimestre", assure un communiqué de presse ministériel diffusé dans la foulée de la réunion. Dans cette attente, tour d'horizon des principales perspectives qui se dessinent.

Cap sur la création des Hepas
Projet phare développé par l'Union nationale des associations de formation et de recherche en intervention sociale (Unaforis), la création de "Hautes écoles professionnelles pour l'action sociale" (Hepas) a désormais le soutien officiel de la ministre des solidarités. Elle y voit, avec la création de "pôles régionaux en lien avec l'université", le moyen "d'inscrire les formations [sociales] françaises dans un paysage européen plus large". Un tel arbitrage ne saurait surprendre outre mesure. L'ancien directeur général de la cohésion sociale (DGCS), Fabrice Heyriès, s'était déjà prononcé en ce sens le 26 octobre dernier, lors de la première conférence nationale des formations sociales. Il n'en demeure pas moins que cette perspective n'enchante pas tout le monde, en particulier l'Association des formateurs du secteur sanitaire, social et éducatif (Aforssse). Par ailleurs, en l'état actuel, de nombreuses questions demeurent en suspens : quels moyens l'État mobilisera en faveur des Hepas ? quand les premières verront-elles le jour ? Autant de points cruciaux que le document soumis au CSTS jeudi dernier n'aborde pas.

Des formations en adéquation avec les pratiques ?
En dehors de la création des Hepas, censée accroître la "cohérence et [la] lisibilité de l'offre de certification", le ministère des solidarités a retenu comme priorité l'amélioration de "l'observation des besoins". Une problématique à géométrie variable puisqu'elle couvre à la fois la nature des emplois et les modes d'acquisition des compétences. L'une des difficultés pointées dans le projet examiné par le CSTS tient au fait que "les processus d'admission à l'entrée en formation" s'apparentent "à une logique de concours". Or, pour le ministère, ils "devraient évoluer pour mieux correspondre à une mesure des aptitudes permettant à des personnes ayant des expériences de vie et des parcours scolaires diversifiés d'accéder aux formations". Sans surprise, le recours à la validation des acquis de l'expérience (VAE) est encouragé par les pouvoirs publics. Plus novatrice est l'idée de "progresser dans la connaissance des contenus et situations réelles de travail (...) dans les travaux de recherche, d'analyse, de contrôle-qualité et d'évaluation des formations". Reste encore à savoir de quelle manière cet objectif ambitieux sur le papier sera atteint.

L'architecture des certifications sous surveillance
Autre chantier à venir : l'évaluation des effets de la réingénierie des diplômes en travail social ("profil" des professionnels, nouvelles compétences, diversification des secteurs d'activités et des emplois occupés...). Parallèlement, le ministère des solidarités souhaite "définir les éléments de culture commune aux professionnels du travail social pour expertiser une possible évolution de l'architecture des certifications "telle que proposée par le réseau des établissements de formation". Il envisage encore d'identifier "de façon plus précise la ligne de partage entre les compétences dites « génériques » qui, à ce titre, relèvent d'une qualification pouvant être certifiée et les compétences « contextualisées » susceptibles de relever de l'adaptation à l'emploi et donc de la formation continue".

L'ouverture à l'Europe
Le déploiement des formations sociales au cours des trois prochaines années sera par ailleurs placé sous le signe de la "mobilité étudiante et la mobilité des professionnels au niveau européen". L'une des priorités retenus par le ministère est de veiller à ce que "les diplômes de travail social post-bac soient positionnés au même niveau du CEC [cadre européen des certifications] que leurs homologues européens".

Couac sur les filières socio-éducatives
Bien loin de cette image un peu glacée de l'évolution des formations sociales, les organisations syndicales siégeant au CSTS se sont insurgées contre le refus de Roselyne Bachelot-Narquin de soumettre à la séance plénière du conseil "les avis du collège syndical portant sur l'avenir de la filière socio-éducative". "Ce choix présenté comme technique est un choix profondément politique", dénoncent-elles dans un communiqué commun. Les six syndicats attendaient du CSTS "un engagement vers les professionnels" avant la réunion du Conseil supérieur de la fonction publique territoriale [CSFPT] qui doit se prononcer sur les "décrets-cadres" le 13 avril prochain. Car, poursuivent-ils, "les décisions prises pour la filière socio-éducative au CSFPT (...) auront des incidences pour l'ensemble des personnels publics et privés".


Ne manquez pas le prochain mensuel de TSA !
Dans son édition d'avril à paraître, le mensuel de TSA consacre son "Grand angle" aux enjeux de la création des "Hautes écoles professionnelles pour l'action sociale" (Hepas). Au menu : décryptage des projets portés par l'Unaforis et des réactions qu'ils suscitent, présentation du Groupe des instituts régionaux de formation des acteurs sociaux (Girfas) de Bretagne, zoom sur le partenariat mené entre un centre de formation aux métiers du sanitaire et du social et une université (Lyon 2) et enfin un détour rapide vers la Belgique.




Par Sybilline

Guest

#1384

2011-03-28 14:47

Il s'agit de reconnaître un état de fait, nos études sont soldées au bout de 3 années et il est logique que notre diplôme soit reconnu en tant que tel. Et donc permettre l'équivalence en terme de diplôme.

Guest

#1385

2011-03-28 18:09

enfin

Guest

#1386

2011-03-28 18:09

enfin une reconnaissance

Guest

#1387

2011-03-28 18:10

c'est pas trop tôt

Guest

#1388

2011-03-28 21:37

Pourquoi on n'est pas écouté? On réclame justice. On veut être reconnu bac + 3
cocco
Guest

#1389

2011-03-28 21:54

just a right : 3 years study after baccalauréat : 3 years and not 2 years as it is now!/
roro
Guest

#1390 DEASS

2011-03-29 09:22

Complètement d'accord !bravo l'ANAS !!
Roro de Grenoble
Guest

#1391 DEASS

2011-03-29 09:25

Le travail social est u travail à haute valeur humaine ajoutée.Beaucoup plus que la bourse !Il doit etre légitimement reconnu .
nat
Guest

#1392 reconnaissance du diplomes desf

2011-03-29 15:05

bonjour,
j'ai un bac + 3 de conseillère esf..Deux années de bts et une année de de. Je trouve inconcevable qu'on soit encore reconnu bac + 2 alors que nous avons fait 3 ans d'études obligatoire après le bac.

Guest

#1393

2011-03-30 12:27

Les Conseillers ESF préparent le BTS en 2 ans et ensuite pendant une année le Diplôme d'Etat: quelle est la logique quand il n'y a pas de reconnaissance Bac +3?

Guest

#1394

2011-03-30 15:29

Il est grand temps que notre DE soit reconnu à sa juste valeur!

Guest

#1395

2011-03-30 16:58

3 ans d'études reconnaissance BAC+3 justifiée

Guest

#1396

2011-03-30 21:00

il serait bien enfin de reconnaître notre diplôme a sa juste valeur !!!
on se fait quand même pas chier a faire 3 ans pour ne pas être reconnus comme tels!!
Olivia
Guest

#1397

2011-03-30 23:08

je suis en 2ème année de BTS en économie sociale familiale, donc tout à fait concernée par le sujet !
il est clair que c'est injuste: 3ans d'étude reconnue comme 2ans post-bac, alors qu'il s'agit d'un diplôme d'état... en espérant que cette pétition obtienne ce qu'elle attend, et ce que nous attendons tous.

Guest

#1398

2011-03-30 23:50

Ouais ca rale derriere son ordinateur, mais dans la rue, y'a personne !!!!

Il faut nous faire entendre....putain d'internet !

Guest

#1399

2011-03-31 09:15

no comment

Guest

#1400

2011-03-31 09:38

il faut absolument que les personnes se rendent comptent de les missions d'assistant social nécessitent non seulement des études qui durent 3 années et qui ne sont pas à la portée de chacun mais il faut un engagement de toute sa personne pour exercer ce métier comme il faut.